par le Groupe VYV
[PODCAST] L'impact du dérèglement climatique sur la santé humaine est encore trop peu documenté. Que font les mutuelles de santé et de prévoyance pour s'engager sur la voie de la transition de leur modèle et anticiper le risque climatique pour leur cœur de métier ? Lionel Fournier, directeur Santé et écologies chez Harmonie Mutuelle apporte son expertise et analyse comment une mutuelle de santé se doit d'agir dans la lutte pour le climat.
[ANALYSE] L'objectif de neutralité carbone est pharaonique et l'ESS semble peser peu en matière d'émissions de gaz à effet de serre. Et pourtant elle est attendue sur deux fronts. Celui de l'accompagnement des changements de comportement de consommation et celui sur la contribution au mix énergétique décarboné grâce aux projets citoyens qui sont en train de changer de modèle.A l'ESS aussi de démontrer que le partage de la valeur est vecteur de transition.
[PODCAST] Comment planifier une transition vers la neutralité carbone ? Jean-Louis Bergey, chef de projet Transition(s) 2050 à l'Ademe, fait la pédagogie des quatre scénarios imaginés par l'Ademe et analyse le rôle central que l'ESS doit jouer dans au moins deux d'entre eux.
[PODCAST] Les énergies renouvelables et citoyennes représentent un pouillème de la production d'énergie renouvelable en France. L'objectif de leurs promoteurs est d'atteindre 15% de la puissance installée d'ici 2030. Comment fonctionne un projet citoyen ? Comment atteindre ces 15% ? Ness a tendu son micro aux Rencontres nationales des énergies citoyennes.
[EDITO] L’ESS s’affirme régulièrement comme étant une économie de la transition écologique par les principes et valeurs qu’elle défend. Mais que peut réellement l’ESS pour contribuer à la neutralité carbone ?
L'ESS séduit la jeune génération qui entre dans la vie active. Elle est née au milieu des ordinateurs, doit faire face à de multiples défis, ne veut plus travailler sans s'engager, mais surtout ne veut plus sacrifier sa vie au travail. Qu'est-ce que l'ESS a à lui offrir et que va changer cette nouvelle génération ? Réponse dans l'opus 5 de Ness.
La neutralité carbone d'ici 2050 est un objectif mondial afin de limiter le réchauffement climatique à moins de deux degrés. L'Economie sociale et solidaire devra apporter sa part comme tous les agents économiques. Mais quelle part exactement ? L'ESS est-elle capable de peser sur la transition vers les énergies décarbonées et renouvelables ? Doit-elle se concentrer sur la transformation des modes de consommation ? Les entreprises de l'ESS font-elles ce qu'il faut pour réduire leurs émissions ? Les réponses de Ness dans ce sixième opus !
L’économie sociale et solidaire (ESS) est un mode d’entreprendre guidé par l’intérêt général, qui met l’humain au centre du système. Ce modèle de création de richesses, matérielles, sociales, culturelles, privilégie des formes d’organisation collective et participative. La lucrativité est limitée, le versement de dividendes aux éventuels actionnaires ou aux sociétaires est très encadré. La majeure partie des marges et des réserves doit être réinvestie dans l’entreprise pour assurer la pérennisation de son projet.
L’ESS se caractérise par son ancrage dans les territoires, son potentiel d’innovations sociales et l’hybridation de ses financements, publics et privés.
Les entreprises reconnues par la loi comme appartenant à l’ESS ont des statuts variés : associations, coopératives, mutuelles, fondations, entreprises commerciales dites solidaires ou sociales… La majorité d’entre elles sont des associations.
L’ESS compte plus de 165 000 associations, mutuelles, fondations, coopératives et sociétés commerciales d’utilité sociale. Elle salarie quelque 2,4 millions de personnes, soit environ 10,5% des salariés en France.
Les secteurs les plus investis : l’action sociale, l’environnement, l’enseignement et la formation, la santé, les sports et loisirs, les arts et spectacles… Ils sont représentés par des entreprises de taille extrêmement variables. Tandis que des banques coopératives, des mutuelles de santé ou d’assurance salarient des milliers de personnes, des entreprises associatives peuvent n’avoir qu’un salarié.
Economie circulaire : ce qui est considéré comme déchet dans l’économie traditionnelle est réutilisé, valorisé comme matière première pour fabriquer de nouveaux produits. Nombre d’entreprises de l’ESS travaillent dans le domaine de l’économie circulaire (recycleries, ressourceries, « repair cafés »…) au même titre que des entreprises classiques et marchandes.
Mais beaucoup d’entreprises de l’ESS ne travaillent pas du tout dans ce domaine d’activité. Par opposition, l’économie linéaire correspond à une suite finie : production, transformation, distribution, poubelle.
Economie collaborative : en dépit de ce que pourrait supposer son nom, l’économie collaborative n’est pas synonyme d’économie sociale et solidaire.
Ainsi, par exemple, certaines plateformes collaboratives relèvent de l’ESS, les plateformes coopératives (comme Mobicoop, Coopcycle ou CoopCircuits), tandis que d’autres s’inscrivent dans une logique classique de profit (Uber, Blablacar…).
Économie des communs : Les communs, ce sont des ressources, immatérielles et matérielles (savoirs, numérique, semences, énergie, etc.) utilisées par une communauté d’usagers qui se dotent de règles de gouvernance. Les convergences sont nombreuses avec les pratiques et les acteurs de l'ESS.
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